No remedy for memory | Jude & Wolfe
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Re: No remedy for memory | Jude & Wolfe
Il m’embrasse … et je mets un petit moment avant de m’en rendre compte. Et quand c'est le cas il est déjà plus loin. C'est qu'il prend de plus en plus d'assurance le petit … J’approche, un sourire en coin, le loup en moi prêt à bondir. Mais encore une fois je prends sur moi même si … j'aurai moins de filtre qu'en lieu neutre.
Arrivé face à lui, mes deux mains se déposent contre ses hanches pour l'attirer contre moi.
-Et bien … les rôles semblent s'inverser alors. Constatais je avec un sourire insolent aux lèvres. Tu t'inquiète et moi je n'arrive pas à déconnecter …
Mon regard ancré dans le sien, je reste ainsi quelques longues secondes. Puis, mes mains se croisent dans son dos, le rapprochant encore un peu tout en resserrant l'étreinte. Désormais je ne peux plus me retenir et je ne vois même plus pourquoi je le devrai … alors je prends ses lèvres avec cette passion retrouvée, ce soulagement de constater qu'il est encore là, avec moi.
Arrivé face à lui, mes deux mains se déposent contre ses hanches pour l'attirer contre moi.
-Et bien … les rôles semblent s'inverser alors. Constatais je avec un sourire insolent aux lèvres. Tu t'inquiète et moi je n'arrive pas à déconnecter …
Mon regard ancré dans le sien, je reste ainsi quelques longues secondes. Puis, mes mains se croisent dans son dos, le rapprochant encore un peu tout en resserrant l'étreinte. Désormais je ne peux plus me retenir et je ne vois même plus pourquoi je le devrai … alors je prends ses lèvres avec cette passion retrouvée, ce soulagement de constater qu'il est encore là, avec moi.
Wolfe Frischmann
isMessages : 102
Age : 33
Date d'inscription : 05/03/2017
Localisation : Maison Frischmann, vous pouvez pas la louper tellement elle est grande ... ou sinon laissez vous juste guider par la musique !
Emploi/loisirs : J'anime vos soirées en solitaire ... bande de petits pervers !
Je suis : Célibataire mais rarement seul
Re: No remedy for memory | Jude & Wolfe
Mon coeur cogne plus fort à mesure qu'il approche... Cette fois j'ai pas à partir en courant... Mais c'est toujours étrange pour moi de susciter ce genre d'expression... D'attitude clairement séductrice de la part d'un homme. Mais c'est lui... Alors au lieu de l'ignorer, ou de lui cracher mon venin, je reste planté là. Ses bras entourent mes hanches, et mon palpitant tape un sprint... Instinctivement, je caresse un peu maladroitement sans doute, ses bras à ma portée, sans chercher à remettre de la distance entre nous. Elle me pesait bien trop, tout à l'heure. Plongé dans son regard, plus rien n'existe autour de nous.
Ses mots, je me les passe au moins deux ou trois fois dans ma tête... C'est un appel? Est-ce qu'il me demande de l'aider à décrocher? Ca y ressemble, non? J'ai pas des plombes pour retourner ça dans tous les sens... Parce que d'un coup... Nouveau baiser... J'en tremble, tellement j'aime ça... Il nous a encore rapprochés. Les secondes passent, mais je suis pas obligé de les compter quand je suis ici... Ya pas de couloir avec des gens qui sont prets à débarquer n'importe quand pour se faire refaire le ravalement à coup de phalanges... Alors oui, j'y réponds à ce baiser. Je dirais pas qu'il est frénétique, mais... On a eu le temps de se manquer... Parce que dans le vestiaire, yavait tellement de tension que c'était pas vraiment apaisant. C'etait dévorant carrément... Plein de stress... Même si quelque part, c'était complètement libérateur, là on peut prendre notre temps.
Une de mes mains vient se poser sur sa joue, comme pour m'assurer qu'il ne recule pas trop vite, alors que l'autre se pose dans le creux de ses reins. Plusieurs secondes plus tard, mon coeur court toujours.
"N'aies pas peur"... Dis-je à bout de souffle.
Mes mains tremblent un peu alors que l'idée de la situation inversée me revient en évidence à l'esprit.... Et c'est là que je me souvient à quel point il aime le contact... A quel point ça l'apaise... Comme le soir où je me suis collé à son dos pour qu'il s'endorme...
Pris d'une timidité comme j'en ai jamais vécue, je glisse le bout de mes doigts sous le tissu de cette chemise que j'avais moi-même fermée, pour atteindre la cambrure de son dos à même sa peau.
"Tu l'as dit toi-même... Personne ne peut nous atteindre ici..." Rappelai-je.
Ma voix était tout sauf stable, et encore moins assurée... Mais cette fois... J'ai pas baissé les yeux...
Ses mots, je me les passe au moins deux ou trois fois dans ma tête... C'est un appel? Est-ce qu'il me demande de l'aider à décrocher? Ca y ressemble, non? J'ai pas des plombes pour retourner ça dans tous les sens... Parce que d'un coup... Nouveau baiser... J'en tremble, tellement j'aime ça... Il nous a encore rapprochés. Les secondes passent, mais je suis pas obligé de les compter quand je suis ici... Ya pas de couloir avec des gens qui sont prets à débarquer n'importe quand pour se faire refaire le ravalement à coup de phalanges... Alors oui, j'y réponds à ce baiser. Je dirais pas qu'il est frénétique, mais... On a eu le temps de se manquer... Parce que dans le vestiaire, yavait tellement de tension que c'était pas vraiment apaisant. C'etait dévorant carrément... Plein de stress... Même si quelque part, c'était complètement libérateur, là on peut prendre notre temps.
Une de mes mains vient se poser sur sa joue, comme pour m'assurer qu'il ne recule pas trop vite, alors que l'autre se pose dans le creux de ses reins. Plusieurs secondes plus tard, mon coeur court toujours.
"N'aies pas peur"... Dis-je à bout de souffle.
Mes mains tremblent un peu alors que l'idée de la situation inversée me revient en évidence à l'esprit.... Et c'est là que je me souvient à quel point il aime le contact... A quel point ça l'apaise... Comme le soir où je me suis collé à son dos pour qu'il s'endorme...
Pris d'une timidité comme j'en ai jamais vécue, je glisse le bout de mes doigts sous le tissu de cette chemise que j'avais moi-même fermée, pour atteindre la cambrure de son dos à même sa peau.
"Tu l'as dit toi-même... Personne ne peut nous atteindre ici..." Rappelai-je.
Ma voix était tout sauf stable, et encore moins assurée... Mais cette fois... J'ai pas baissé les yeux...
Re: No remedy for memory | Jude & Wolfe
Depuis hier, tout tourne dans ma tête, cette photo, Jude, son père, cette indefaisable attraction … tout ca inonde mon cerveau , m'empêche de dormir et de travailler visiblement. Enfin si j'étais livreur de pizza ca ne n’empêcherait pas de livrer mes pizzas. Je serais juste moins attentif mais voilà, quand on est acteur porno c'est plus contraignant …. C'est comme si mon scooter tombait en panne en pleine livraison. C'est bon, vous l'avez l'image ?
Qu'il me dise tout ca entre deux baisers me ramène à nos premiers instants, à ces mots que j'ai pu lui adresser. Et ca me touche. Est ce vraiment de la peur que je ressens ? Certainement … peur que tout ceci m’échappe, que ca s'arrête brutalement. Mais il a raison, personne ici ne peut nous atteindre. Et même si Lubia devait rentrer plus tôt, elle est au courant de la situation. Quant à mes parents … sans commentaires.
Le regard pétillant, je ne lâche pas Jude du regard, mon pouce glissant contre sa lèvre. Il m’impressionne. Malgré ses peurs et sa timidité, face à moi il n'a cessé de faire des efforts, et moi chaque fois Je reste sur le cul.
-Là je n'ai plus peur … murmurais je avant de l'embrasser à nouveau.
Plus tendrement, je l’enlace, je m’abandonne à ce baiser sans peur. Pas besoin d'un renfoncement, d’obscurité ou de capuche pour nous cacher. Et puis sa main dans mon dos me fait frissonner, c'est doux, c'est chaud, c'est agréable. Tout contre ses lèvres je lui demande,un sourire malicieux aux lèvres :
-Tu veux toujours prendre une douche ?
Comment ca cette question est volontairement laissée tendancieuse ?
Qu'il me dise tout ca entre deux baisers me ramène à nos premiers instants, à ces mots que j'ai pu lui adresser. Et ca me touche. Est ce vraiment de la peur que je ressens ? Certainement … peur que tout ceci m’échappe, que ca s'arrête brutalement. Mais il a raison, personne ici ne peut nous atteindre. Et même si Lubia devait rentrer plus tôt, elle est au courant de la situation. Quant à mes parents … sans commentaires.
Le regard pétillant, je ne lâche pas Jude du regard, mon pouce glissant contre sa lèvre. Il m’impressionne. Malgré ses peurs et sa timidité, face à moi il n'a cessé de faire des efforts, et moi chaque fois Je reste sur le cul.
-Là je n'ai plus peur … murmurais je avant de l'embrasser à nouveau.
Plus tendrement, je l’enlace, je m’abandonne à ce baiser sans peur. Pas besoin d'un renfoncement, d’obscurité ou de capuche pour nous cacher. Et puis sa main dans mon dos me fait frissonner, c'est doux, c'est chaud, c'est agréable. Tout contre ses lèvres je lui demande,un sourire malicieux aux lèvres :
-Tu veux toujours prendre une douche ?
Comment ca cette question est volontairement laissée tendancieuse ?
Wolfe Frischmann
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Date d'inscription : 05/03/2017
Localisation : Maison Frischmann, vous pouvez pas la louper tellement elle est grande ... ou sinon laissez vous juste guider par la musique !
Emploi/loisirs : J'anime vos soirées en solitaire ... bande de petits pervers !
Je suis : Célibataire mais rarement seul