No remedy for memory | Jude & Wolfe
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Re: No remedy for memory | Jude & Wolfe
Son baiser m’a pris de court … et quand il quitte mes lèvres, il y laisse un souffle encore plus court et une délicieuse brûlure. Sans compter tout son corps qui est venu contre le mien. Et … ma main … Nos bassins … La force dont il peut faire preuve ... Ca a quelque chose de tellement grisant.
J’ai bien compris que dans ce baiser récemment échangé se jouait une sorte de combat intérieur … Une bataille contre sa raison et … et quoi d’ailleurs ? Ca aurait été quelqu’un d’autre, j’aurai dit entre sa raison et sa queue. Mais non, c’est juste pas possible que j’envisage notre lien de cette manière. C’est pas la première fois que je le dis. Ses pulsions ? Non, c’est trop réducteur … Son coeur ? Bordel … Le mien a un sursaut.
Ce voilà … Je l’ai utilisé un peu plus tôt. Un mot qui veut rien mais en même temps … il remplace aussi beaucoup de paroles compliquées, qui met un terme à un flux incessant de pensées. Enfin, c’est comme ça que je le perçois.
Lentement, ma main quitte ses cotes pour se poser contre sa joue. Elle tremble un peu … L’autre, est coincée entre nos deux bassins, contre son excitation … et je n’ose pas encore la bouger. Il n’y a que de très faibles mouvements de mes hanches qui peut engendrer un timide frottement … auquel je ne sais résister. Mes doigts se posent donc contre sa joue, recréant le tracé de ses fossettes, de sa mâchoire … Et je me concentre sur mon souffle, mon regard rivé dans le sien.
“Mais c’est tout ce qui compte en ce moment …” murmurai-je, si proche de ses lèvres, la voix certainement rendue plus basse par le désir. “J’ai ta confiance. Tu as la mienne … C’est tout ce qui compte, maintenant.” répétai-je, lentement.
J’aurai pu enchaîner … J’en aurai des trucs à lui dire, mais ses lèvres m’appellent. Tout son corps … Alors je lui reprends un baiser, mais juste un léger effleurement, pour lui laisser l’occasion de répondre, si il a quelque chose à dire … tandis que mes doigts de mon autre main s’enroulent autour de lui.
J’ai bien compris que dans ce baiser récemment échangé se jouait une sorte de combat intérieur … Une bataille contre sa raison et … et quoi d’ailleurs ? Ca aurait été quelqu’un d’autre, j’aurai dit entre sa raison et sa queue. Mais non, c’est juste pas possible que j’envisage notre lien de cette manière. C’est pas la première fois que je le dis. Ses pulsions ? Non, c’est trop réducteur … Son coeur ? Bordel … Le mien a un sursaut.
Ce voilà … Je l’ai utilisé un peu plus tôt. Un mot qui veut rien mais en même temps … il remplace aussi beaucoup de paroles compliquées, qui met un terme à un flux incessant de pensées. Enfin, c’est comme ça que je le perçois.
Lentement, ma main quitte ses cotes pour se poser contre sa joue. Elle tremble un peu … L’autre, est coincée entre nos deux bassins, contre son excitation … et je n’ose pas encore la bouger. Il n’y a que de très faibles mouvements de mes hanches qui peut engendrer un timide frottement … auquel je ne sais résister. Mes doigts se posent donc contre sa joue, recréant le tracé de ses fossettes, de sa mâchoire … Et je me concentre sur mon souffle, mon regard rivé dans le sien.
“Mais c’est tout ce qui compte en ce moment …” murmurai-je, si proche de ses lèvres, la voix certainement rendue plus basse par le désir. “J’ai ta confiance. Tu as la mienne … C’est tout ce qui compte, maintenant.” répétai-je, lentement.
J’aurai pu enchaîner … J’en aurai des trucs à lui dire, mais ses lèvres m’appellent. Tout son corps … Alors je lui reprends un baiser, mais juste un léger effleurement, pour lui laisser l’occasion de répondre, si il a quelque chose à dire … tandis que mes doigts de mon autre main s’enroulent autour de lui.
Wolfe Frischmann
isMessages : 102
Age : 33
Date d'inscription : 05/03/2017
Localisation : Maison Frischmann, vous pouvez pas la louper tellement elle est grande ... ou sinon laissez vous juste guider par la musique !
Emploi/loisirs : J'anime vos soirées en solitaire ... bande de petits pervers !
Je suis : Célibataire mais rarement seul
Re: No remedy for memory | Jude & Wolfe
J’peux pas dire qu’il a raison, pour les raisons qu’on connait. Mais à quoi ça sert de le répéter? Surtout qu’objectivement, là, maintenant, tout de suite, sous cette douche… C’est clair que j’ai pas envie de penser à quoi que ce soit d’autre. Mais… Et maintenant? Ma bouche revient épouser la sienne, capturant son souffle… Figeant le mien… Avant d’expirer, tremblant… Frémissant, même. Mes mains se sont agripées à ses hanches dans le feu de l’action, mais elle remontent -pas trop vite, et sans jamais que mes doigts ne rompent complètement le contact- pour prendre son visage en coupe. Et c’est seulement là, que je décolle mes lèvres des siennes, la respiration aussi rapide que si j’avais sprinté. Je recule, pour croiser son regard, moins facile à capter à cause de la lumière bleue, et mes pouces viennent tous les deux caresser sa lèvres inférieure que j’avais l’impression d’encore pouvoir sentir… Je dois avoir l’air complètement fêlé, là… Mais une fois encore, je sais plus comment enchaîner. Tout ce dont je suis sûr, c’est que je donnerais cher pour ne pas avoir à renoncer à tout ce qui s’est passé, et ce qui pourrait encore se passer ici…
“Wolfe…” Lâchai-je dans un murmure… Un murmure qui même à mes oreilles ressemblait à un appel...
“Wolfe…” Lâchai-je dans un murmure… Un murmure qui même à mes oreilles ressemblait à un appel...
Re: No remedy for memory | Jude & Wolfe
Cet appel … ce regard … Ça suffit. Mon cerveau ne répond plus. La raison, la conscience et toute sa clic sont relayées sur le banc de touche. On verra ça plus tard. Je ne vais plus faire d’effort … à part celui que Jude profite autant que moi de cet instant.
Ma main libre se dépose au dessus de son épaule, à plat contre la paroi de la douche, fraîche et embuée. Et, de tout mon corps contre le sien, je l’y entraîne, sans plus chercher à redouter aucun contact. Désormais, tout mon corps épouse le sien. Je frémis. Je ne l’ai pas quitté des yeux. Il n’y a que nos lèvres qui ne se touchent pas.
Est ce qu’il y a besoin que je lui dise de déconnecter, encore une fois ? Je crois que maintenant il a compris. À force de lui répéter … Alors je me jette littéralement sur ses lèvres, ma main restant en tension sur le mur. Le baiser est fort, intense. Et des caresses plus indécentes entrent en jeu. Ce frottement intime et sensuel, mes doigts contre sa peau fine … qui s’enroulent et glissent, lentement et passionnément.
Ma main libre se dépose au dessus de son épaule, à plat contre la paroi de la douche, fraîche et embuée. Et, de tout mon corps contre le sien, je l’y entraîne, sans plus chercher à redouter aucun contact. Désormais, tout mon corps épouse le sien. Je frémis. Je ne l’ai pas quitté des yeux. Il n’y a que nos lèvres qui ne se touchent pas.
Est ce qu’il y a besoin que je lui dise de déconnecter, encore une fois ? Je crois que maintenant il a compris. À force de lui répéter … Alors je me jette littéralement sur ses lèvres, ma main restant en tension sur le mur. Le baiser est fort, intense. Et des caresses plus indécentes entrent en jeu. Ce frottement intime et sensuel, mes doigts contre sa peau fine … qui s’enroulent et glissent, lentement et passionnément.
Wolfe Frischmann
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