♦ Très sportif depuis qu'il est jeune.
♦ A rencontré Wolfe au lycée. Depuis ils sont devenus inséparables. Malgré de nombreuses conneries et un tempérament qui pouvait être très dissipé, il reste studieux et obtient de bonnes notes tout le long de sa scolarité.
♦ Animé par un désir profond de s'engager et de se rendre utile pour son pays, il quitte le lycée à 17 ans pour entrer à l'académie militaire de West Point, une des écoles militaires les plus prestigieuses aux États Unis. Il se révèle rapidement comme un bon élément, très docile et très performant. Malgré de nombreuses absences et un travail acharné, il n'en oublie pas ses amis et sa famille, ne manquant pas une occasion pour se détendre et décrocher.
♦ A 21 ans, il décide néanmoins de changer de parcours et est engagé chez les pompiers. Il y trouve sa vraie place et une philosophie de vie qui lui correspond totalement.
Wolfe Frischmann : Ca pourrait être si beau ...
Les échos de la fête résonnent, provenant de l'étage en dessous mais aucun des deux jeune homme ne semble pressé de redescendre. Gil au dessus, Wolfe l'enlaçant tendrement, ils s'abandonnent à un baiser, aussi passionné qu'enivrant. Les doigts du blond caressent cette joue percée tandis que le brun glisse les siens dans les boucles soyeuses de son … de son quoi au juste ? Aucun mot n'avait jamais été posé là dessus. Oh ils sont amis, ça c'est le cas depuis le début, de très bons amis même, unis à faire les quatre cent coups depuis le lycée. Inséparables. Mais leur lien avait évolué avec les années, et plus ils grandissaient, plus ils se rapprochaient, plus leurs cœurs semblaient battre à l'unisson. Alors quoi ? Il serait peut être temps de discuter, non ?
Lentement, un peu tremblant, Wolfe rompt le baiser. Son cœur s'emballe tandis que sa bouche reste entrouverte, tous les mots restant bloqués dans sa gorge. Dans son regard, une soudaine timidité, mélangée à de la crainte.
-Bah qu'est-ce qu'il t'arrive, tu t'es déjà lassé de mes baisers ? Demande Gil, affichant ce demi sourire insolent qui plaît tant à Wolfe.
Wolfe rigole et le bouscule légèrement sur le côté en se redressant sur ses coudes.
-T'es con ! Nan, nan bien sûr que non. C'est juste que … Il se mordille la lèvre nerveusement. Tu … tu pense pas que … enfin. Il s'passe un truc entre nous, non ? J'veux dire, quelque chose de plus …
Parce que Wolfe a de multiples conquêtes. Gil en a lui aussi sûrement certaines. Ils partagent régulièrement des moments d'abandon et oui, il y a quelque chose de plus … unique. Et visiblement, Gil est d'accord. Le blondinet se redresse à son tour, se mettant à genoux sur le lit et se frotte la nuque, lui aussi pris par une légère timidité. C'est à son tour de ne pas réussir à parler. Il baisse les yeux.
Soudainement, Wolfe se redresse soudainement et redresse le visage de Gil pour retrouver son regard.
-Je crois que je t'aime Gil … A t-il lâché, la voix beaucoup moins assurée qu'il l'aurait voulu.
Ses joues s'étaient empourprées et ils restèrent ainsi, figés, les yeux dans les yeux. Le temps pour l'un de se rendre compte de la sincérité des mots qu'il avait lui même prononcé, et pour l'autre de ne pas céder trop rapidement aux espoirs jusqu'alors secrets qu'il fondait. Puis, ce fut le baiser qui aurait dû sceller cet amour révélé. Aussi atypique soit-il, ils ont formé un couple quelques jours. Et si cette relation pouvait tendre à quelque chose d'exclusif, Wolfe restait acteur porno. Et Gil ne le supportait pas. Il tenta par nombreux moyens de convaincre Wolfe d'arrêter. Mais le jeune acteur n'en démorda pas. Aussi amoureux puisse t-il être, c'était son métier et là dedans qu'il voulait faire carrière.
-Alors ça ne sera pas possible … Avait finalement avoué le blond, le cœur lourd et l'amertume dans la voix. Tant que tu continueras de te taper tous ces mecs, tu ne me toucheras plus.
Prénom, Nom : Description du lien, blablabla
Exsistit autem hoc loco quaedam quaestio subdifficilis, num quando amici novi, digni amicitia, veteribus sint anteponendi, ut equis vetulis teneros anteponere solemus. Indigna homine dubitatio! Non enim debent esse amicitiarum sicut aliarum rerum satietates; veterrima quaeque, ut ea vina, quae vetustatem ferunt, esse debet suavissima; verumque illud est, quod dicitur, multos modios salis simul edendos esse, ut amicitiae munus expletum sit.